Nom/Prénom : Lazaridis Calypso

Âge : Seize ans

Classe souhaité (Dresseur...) : Force de l’Ordre.

Starter : Evoli

Région (Hinoiri) : Hinoiri

Personnage sur l'avatar (mettez "inconnu si vous ne savez pas) : Mon avatar est une oeuvre de Kaori Minakami intitulée Smile To You

Physique ( 6 ~ 10 lignes sans fautes ) :
Calypso est une fille, normalement constituée, à la silhouette frêle et au corps fin. Elle est petite, et doit mesurer cent-cinquante-cinq centimètres pour peser quarante-deux kilos. Son visage fin est encadré de courts cheveux blonds, légèrement ondulés. Ses grands yeux bruns semblent curieux de tout, et sont très expressifs, tout comme son visage d’ailleurs. Souvent, une moue boudeuse se teint, mais elle peut très vite laisser place à un grand sourire. Calypso est timide, et ne sourit pas souvent, seulement lorsqu’elle se sent assez proche d’une personne. Ses petites mains sont habiles, ses doigts agiles, habitués à passer d’une touche à l’autre sur un piano ou à lancer une pokéball. Évidemment, elle n’est pas épaisse, mais le peu de poitrine qu’elle a ne la complexe pas tellement. Elle est souple, et ses jambes fines sont rapides, bien qu’elle ne soit pas très endurante.

Caractère ( 6 ~ 10 lignes sans fautes ) :
Comment décrire le caractère de Calypso ? Bien que Calypso, comme tout être humain, possède des défauts, elle est pleine de qualités. Néanmoins, elle est farouche et méfiante. Elle n’accorde pas confiance facilement et plutôt réservée. Méfiante, elle répondra avec le sourire, et vous donnera service avec plaisir, mais n’étalera ni sa vie ni ses états d’âme avec vous si vous ne l’apprivoisez pas. Malgré cela, quand elle a confiance en une personne, elle lui est loyale et dévouée. Attachante, elle n’est ni jalouse ni envieuse, mais se montrer extrêmement possessive. Par exemple, elle déteste qu’on s’approche de son évoli, ou de ses amis proches (bien qu’elle n’en aie qu’une à l’heure actuelle). Elle a un grand sens de la justice, et si elle peut parfois être sévère, son jugement sera toujours juste, du moins elle essaie. Calypso est lunatique et rêve d’un monde meilleur. Elle déteste l’injustice et fuit comme la peste la violence. Malgré le fait qu’elle soit susceptible et parfois inconsciente, elle tentera toujours d’aider son prochain, à son propre détriment.

Histoire ( Une Quinzaine de lignes ) :
Calypso naquit un beau jour, le soleil brillait et les etourmi chantaient, et l’air sentait bon les fleurs fraîchement écloses tandis qu’une brise légère rafraîchissait les rayons du soleil chauffant. Une belle matinée de printemps qui annonçait une belle journée. Dans le village, on nourrissait les Laporeille et trayait les écrémeuh. Un travail de ferme qui ne concernait nullement la famille Lazaridis, qui avait depuis longtemps engagé du personnel pour le faire. Non que ce soit une famille riche ou feignante; seulement, le travail de ferme, pour eux, était réservé aux hommes. Mais l’homme de la maison était malade. Il avait rencontré son épouse lors d’un voyage. Scientifique, il aimait découvrir, et gardait pour son usage personnel ses découvertes. Son épouse, quant à elle, élevait tranquillement des Ponyta, attendant le prince charmant. Ils s’épousèrent et vécurent heureux dans la ville natale de la mariée. Vint le moment de l’accouchement. Le père espérait un garçon, pour hériter, et la mère une fille douce et délicate. Les deux furent comblés; ils eurent deux faux-jumeaux. Sous ces airs de bonheur se cachait une intense douleur. Le père était souffrant. Une maladie qui le tuait, peu à peu, et qui fut apparemment transmise à son fils. La mère se remit difficilement de son accouchement, mais au fil du temps, elle se remit complètement. Calypso grandissait tranquillement, connaissant de merveilleux moments avec ses proches et ses pokémon et de plus mauvais en supportant les crises mensuelles de son père. Elle avait jeté son dévolu sur un petit évoli, cadeau d’un villageois proche de la famille, en même que sa meilleure amie proche. Il leur apprit aussi à se battre, du moins les bases du combat. Puis il partit, abandonnant ainsi les deux fillettes et leurs compagnons respectifs. Calypso n’avait pas souvent la permission d’aller dans les herbes avec son évoli, alors il n’augmenta que peu de niveaux. Cependant, il y a trois mois à peu près, il y eut beaucoup de changements. Le père de Calypso, très malade, mourut d’un coup, étrangement. Comme prévu, le garçon hérita. Calypso jugea ceci malhonnête; et, accompagnée de son évoli et de sa plus proche amie, elle décida de partir faire sa vie, en tournant le dos à cette ferme qui lui rappelait tant son passé, son père, et l’injustice du testament.